Enfin la saison 2 de BEASTARS est disponible sur Netflix ! Et le moins que l’on puisse en dire, c’est que l’anime connait un succès énorme sur la plateforme SVOD. Pour rappel, Beastars est une adaptation du célèbre manga éponyme du dessinateur Paru Itagaki. Il s’agit d’une série qui met en scène dans un univers anthropomorphique, des personnages d’animaux étudiant dans un lycée et divisés en 2 catégories : les herbivores et les carnivores. Voici 4 raisons pour lesquelles vous ne devez pas rater cette série, même si vous n’aimez pas les mangas.
BEASTARS : de quoi est-ce qu’il est question ?
Des étudiants carnivores et herbivores cohabitent en parfaite harmonie au sein des bâtiments du lycée Cherryton. Ici, il est strictement interdit de consommer de la viande et afin de prévenir toute tentation, les dortoirs de la pension sont séparés les uns des autres en fonction du régime alimentaire. Alors que tout allait bien jusque-là, la découverte d’un cadavre dépecé et en état de décomposition sur le campus va progressivement susciter des tensions vives entre le groupe des herbivores et celui des carnivores, laissant éclore la nature animale et sauvage de chaque personnage.
En usant subtilement de la métaphore, cet anime essaye de lever le voile sur le concept de prédateur. Réservé et timide, Legoshi (l’un des principaux protagonistes de la série) va progressivement céder à ses pulsions de loup sauvage au contact d’une lapine naine appelée Haru. Piégé entre sa nature carnivore et le désir sexuel qui le submerge, le loup gris (Legoshi) développe une personnalité sombre et devient contre sa propre volonté un danger pour les autres étudiants de la pension et Haru notamment…
Ces raisons qui vous pousseront à adorer la série BEASTARS
Voici quelques raisons qui justifient le fait de voir cet anime.
Le récit captivant d’une histoire d’amour émouvante
La série anime Beastars raconte la vie et le quotidien d’un lycéen timide du nom de Legoshi. C’est un loup gris très discret qui, après moult péripéties, va développer un amour brûlant et passionnel pour une jeune lapine blanche et naine appelée Haru. Nait donc une histoire d’amour compliquée voire impossible dans un monde où la fracture culturelle entre herbivores et carnassiers est des plus prépondérantes.
Une saison 2 qui satisfait toutes les attentes
La première saison de Beastars était déjà une véritable réussite et la saison 2 pour sa part reprend parfaitement le flambeau d’honneur en proposant un récit et des animations qui satisfont largement les attentes. D’abord, on apprécie le fait que l’histoire reprend exactement là où elle s’était arrêtée…la saison 2 se proposant alors de résoudre les intrigues et le mystère qui continuent de planer sur le campus de Cherryton.
Un style graphique optimisé et parfaitement réussi du fait de l’utilisation de la CGI
L’aspect graphique de cet anime est une totale réussite. Le studio Orange Co., Ltd a pour le coup, réalisé un excellent travail en utilisant notamment la CGI dans la série japonaise qui comme on le sait, est un thème qui n’a jamais cessé de susciter des clivages.
Cependant, la question est loin d’être posée pour l’animation Beastars. Au contraire, l’utilisation de la CGI se présente comme un véritable must pour ce manga. Bien plus, il s’agit probablement d’une des meilleures CGI jamais réalisée pour une série anime.
La possibilité d’accéder facilement à la série animée
Malgré la multitude des plateformes de streaming sur le net, trouver la série animée qui nous intéresse peut parfois s’avérer une tâche difficile. On peut citer par exemple le cas de l’anime Fullmetal Alchemist : Brotherhood qui n’est accessible sur aucun site de streaming. Heureusement, cela ne risque pas d’arriver avec l’animation Beastars qui vous retrouverez uniquement sur Netflix.
Passionnante et saisissante par le portrait original qu’elle dresse de l’adolescence, la série Beastars propose infine un récit réaliste qui aborde des thèmes dérangeants et profonds avec froideur et objectivité. C’est une série d’animation destiné au public adulte contrairement à ce qu’on pourrait croire d’emblée.